Take me down to the paradise city
(Vendredi + soleil + bonne musique + bonne bière)
Qui dit chaleur dit bière de soif. C’est petite gose est tellement rafraîchissante. La première chose que je sais, c’est que mon verre est vide.
Take me down to the paradise city
(Vendredi + soleil + bonne musique + bonne bière)
Qui dit chaleur dit bière de soif. C’est petite gose est tellement rafraîchissante. La première chose que je sais, c’est que mon verre est vide.
Le soleil est partie, mais j’ai trouver un bon substitut.
Cette bière collaborative apporte une bonne dose de soleil et de vitamine C. Sa couleur match parfaitement avec l’orangé de l’étiquette. Son apparence est trouble et sa mousse est généreuse et crémeuse. L’effervescence est moyenne, de même que sa rondeur qui s’accompagne d’un petit côté résineux.
En attrapant quelques rayons de soleil après le souper…
Une pale ale estival, que je pourrais également qualifier de festive, car elle s’accommode bien à toutes les occasions pendant l’été, le genre de bière qui se boit facilement. Une de mes favorites de Farnham, un vrai délice, fruit de la passion et pêche qui s’oppose à l’amertume du pamplemousse. On retrouve ici un équilibre très surprenant, dans cette bière très rafraîchissante. Une bière qui rime avec soleil et qui se retrouve souvent dans mon frigo durant la belle saison.
Un bon petit jus
Une belle mousse riche recouvre se petit jus d’aspect opaque et de couleur jaune-orange. Ça ressemble drôlement à un verre de jus frais, fraîchement pressé.
En bouche, plusieurs saveurs de fruits sont présentes; dont la mangue, le fruit de la passion, la tangerine et l’ananas. Le tout s’accompagne d’une belle amertume et d’une belle acidité. Rarement une IPA est aussi acide et aussi bien balancé. Les levures brettanomyces y jouent sûrement un rôle important.
Sa majesté…
Ce soir fallait que je me gâte, je crois que cette bière convient parfaitement, depuis le temps que j’en entend parler. La journée ensoleillée, mais quand même fraiche semble parfaite également, car ce n’est pas une bière idéale pour les journées chaude d’été.
La reine porte une robe bien noire sur laquelle beaucoup de dentelle s’ajoute. Une mousse riche, épaisse et crémeuse. Une dentelle magnifique qui sur mon verre s’accroche et arrête le temps. Une stature royale et imposante.
Une Chronique jouissive
Benelux nous offre une nouvelle bière en bouteille, une bière vraiment exceptionnelle. Il s’agit d’un assemblage de saison mi-sûre et de pale ale vieillie avec brettanomyces en fûts de chêne américain, le tout houblonné à cru avec du houblon Galaxy. Je ne sais pas si tout comme moi, en lisant cette description vous saliver, si c’est le cas dépêchez-vous d’aller faire un tour au Benelux Wellington ou de vous procurer quelques bouteilles, vous ne serez pas dessus.
Une bière majestueuse
Bon, ok, attachez bien votre tuque pour la description de cette bière très complexe. Elle est issue d’un long travail de 3 ans par nos amies les Lactobacillus, Pedioccus en compagnie des soeurs Brettanomyces Lambicus et Bruxellensis. Le tout dans des futs de vin rouge californien. À la fin de cette maturation, des framboises ont été ajoutées.
Sombrer dans l’immoralité
Une nouvelle bière très attendue que cette Immoralité, qui fait suite à la Moralité, sa grande sœur, une IPA américaine. C’est donc avec beaucoup d’excitation que j’ouvre cette bouteille.
Tel une ventouse, mes mains s’agrippent à mon verre. La couleur est d’un beau jaune doré vif. La mousse est légère et me fait penser à la mousse que créer les vagues sur la plage, douce et voilée. Le tout s’accompagne d’un parfum très fruité.
L’heure du dessert
Après un poulet Bangalor pal ultra-mega épicé, d’agneau Bhoona et d’un peu de pain nan, mes papilles avaient besoin d’une douce caresse. Je me suis donc tourné vers cette toute nouvelle stout impérial.
Je suis surpris par la légèreté de cette bière en bouche. C’est soyeux et comme c’est très peu effervescent, ça descend bien. En même temps, on se doute que cette forte dose de sucre cache quelque chose. On ne sent pas du tout la puissance de l’alcool.
C’est comme un bon café froid avec 4 sucres et une crème. Ça me donne un petit boost d’énergie, vraiment un très bon choix pour cet heure. Je m’imaginerais bien également en prendre une froide par un dimanche matin chaud d’été.
Les saveurs de café dominent et s’accompagne de saveurs de caramel. Facile à boire, mais personnellement je l’aurais préféré moins sucré et plus amer.
J’aimerais bien voir une stout de 5% en cannette.
7/10
(5 sucré, 3 amertume, 1 acidité, 3 arr.-goût, 3 rondeur, 1 pétillement)
Ma sorcière bien aimée
Hummmm ça c’est bon, vraiment très bon. Cette 3e version de cette double IPA me semble bien différente des versions précédentes, mais elle est tout aussi délicieuse.
Cette nouvelle version, plus forte en alcool, est vraiment très fruitée. Des saveurs de fruits tropicaux sont très présentes, dont la mangue et l’ananas. Un vrai régal et l’amertume n’est pas excessive, malgré ses 95 IBU.
Je me risque à une petite comparaison, la bière qui me viens en tête, si je peux la comparer à une autre, c’est l’Herbe à détourne de DDC. Probablement à cause des houblons utilisé, il faudrait que je fasse une petite recherche.
Au niveau de la texture, je la trouve légèrement résineuse, ronde et peu pétillante. Les saveurs de Brettanomyces se font discrètes, mais s’affichent surtout en finale. Une finale longue comme je les aimes, qui s’accompagne de légères saveures de cuire.
On recommande de laisser vieillir cette bière pour augmenter son côté funky… J’en ai déjà une prévu pour ça, mais je vais m’en procurer au moins une autre pour essayer différentes durées de vieillissement. Selon-vous combien de temps il faudrait la laisser vieillir pour satisfaire un amateur de Brett comme moi?
Merci Francis et Pit Caribou pour cette excellente potion magique.
9/10
(4 sucré, 4 amertume, 2 acidité, 5 arr.-goût, 4 rondeur, 2 pétillement)
Oh sugar!
Une microbrasserie que je connais peu pour ce mardi soir. Leur nouvel identité est assez intéressante et se différencie bien de la concurrence. C’est élégant et très classe.
Une mousse légère recouvre cette bière très foncée, de couleur brune avec des reflets rouge, elle nous annonce des saveurs intenses.
Plaisir gastronomique…
Ce soir, j’ai sortie mon chandail des boules à mites. Et pourquoi pas une fondu au fromage pour allez avec ça. Les nuits sont encore froide, alors messieurs, vous pouvez conserver le col rouler mauve, pour garder bien au chaud certaines parties. Un col que vous pouvez déroulez et allonger au besoin.
Le moment du ravitaillement
Après 6.66km de jogging, c’est le moment de faire le plein et de m’accorder une petite récompense (Ouf, le gars est moins en forme qu’il pensait, se ne fut pas facile).
MONSTRE vs. ALIEN
Un combat de double IPA
Sur papier, nous avons 2 double IPA DE 9% alc/vol
Dans le coin gauche, La Tribale de MaBrasserie et dans le coin droit la Dubaï Pillée du Trou du Diable.
Sur le plan visuel, au niveau de la mousse c’est similaire. Au niveau de la couleur, ça se ressemble aussi beaucoup, la Dubaï est peut-être juste un peu plus orangé et foncé que son adversaire. La principale différence réside dans la clarté de la bière, la Tribale étant plus trouble et opaque et la Dubaï plus limpide.
Au niveau de la texture en bouche, la Tribale est un peux résineuse, alors que la Dubaï possède un côté plus sirop.
Pour les saveurs c’est aussi très différent. Commençons avec la Dubaï… Plusieurs fruits sont présents; l’abricot, la mangue et le fruit de la passion. Le sucré est très présent et laisse ensuite place à une bonne amertume chaude et enveloppante. On sent bien la présence de l’alcool. La finale est longue à la fois aigre et fruité. Assez unique comme Double IPA, j’en ai aucune autre en tête que je pourrais comparer.
Pour la Tribale, c’est vraiment différent au niveau des saveurs. On est plus dans les agrumes; l’orange, le pamplemousse rose, le citron et l’ananas. Le niveau de sucre et d’amertume,se compare très bien avec la Dubaï. La finale est un peux moins longue et complexe mais plus fraîche et rafraichissante. Au niveau de la comparaison… Je prends un gros risque en la comparant avec quelque chose d’incomparable, mais elle me semble un peu dans la ligne de la Heady Topper. Ouf, je me pince, j’arrive pas à croire que j’ai vraiment écris ça. Oui, une grosse coche en dessous peut-être, sûrement, mais je crois qu’on peut quand même établir un parallèle.
Bref, deux bières à la base similaire, mais au finale très différentes. La Dubaï me semble mieux conçu pour une froide soirée d’hiver, ou pour être bu autour d’un feu de camp, alors que la Tribale semble mieux convenir au soleil et est plus rafraichissante.
À chaque bière son moment…
Pointage finale:
Tribale 9/10
Dubaï 8/10
La preuve qu’il faut toujours donner une deuxième chance.
L’an dernier j’avais détesté cette bière, vraiment aucun wow, très ordinaire. Cette année elle est très différente et cette fois le facteur wow est présent.
Bonne St-Patrick!
Ok pas très irlandaise cette bière, mais c’est la plus sombre que j’avais dans le frigo et j’avais bien hâte de la découvrir. Depuis le temps que j’en entends parler. Disons qu’une très belle réputation la précédent. Elle a gagné plusieurs prix internationaux.
Parfaite sous le soleil, j’attendais se moment depuis longtemps
Visuellement, sa ressemble à un verre de rosé pétillant et recouvert d’une légère mousse. La couleur s’agence merveilleusement bien avec la couleur de l’étiquette orange.
Un tête à tête avec Jan-Philippe
J’ai retourner la bouteille et tu étais là. Soudainement je me sentais moins seul. J’avais vraiment bien hâte de savourer ta version en bouteille de cette fameuse bière, car j’avais déjà goûter à la version en fût et je savais pas mal à quoi m’attendre. Pour t’avoir rencontré à quelques reprises, je veux aussi mentionner que tu es une personne très sympathique.
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